Lors d’une conférence de presse organisée hier, les membres du bureau de la nouvelle Fédération marocaine de l’externalisation des services et leur soutien ont présenté tous les arguments en faveur de leur cooptation au sein de la CGEM. 120.000 emplois, un chiffre d’affaires de 14,1 MMDH, 1,3 MMDH d’investissements et 9% de croissance en 2019, sans oublier d’importantes perspectives de développement dans le haut de gamme de l’outsourcing. Les détails.
«La Fédération marocaine de l’externalisation des services (FMES) a été récemment cooptée par la CGEM parce qu’elle a rempli tous les critères qui font qu’une fédération peut être acceptée au sein du patronat». C’est en ces termes que Ghita Lahlou, présidente de la Commission capital humain et porte-parole de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), a donné le ton, hier mardi, de la première rencontre de la FMES avec la presse nationale. Selon elle, la fédération a non seulement coché la case des six secteurs formels auxquels doit appartenir toute fédération de la CGEM (agriculture, pêche, industrie, commerce, services et artisanat, tels que définis par le Haut-commissariat au plan), mais également les quatre critères selon lesquels une fédération est importante au sein de l’économie nationale.